magyarophile

Bonjour, vous êtes venu ici pour chercher la signification du mot magyarophile. Dans DICTIOUS, vous trouverez non seulement toutes les significations du dictionnaire pour le mot magyarophile, mais vous apprendrez également son étymologie, ses caractéristiques et comment dire magyarophile au singulier et au pluriel. Tout ce que vous devez savoir sur le mot magyarophile est ici. La définition du mot magyarophile vous aidera à être plus précis et correct lorsque vous parlerez ou écrirez vos textes. Connaître la définition demagyarophile, ainsi que celles d'autres mots, enrichit votre vocabulaire et vous fournit des ressources linguistiques plus nombreuses et de meilleure qualité.

Étymologie

(Siècle à préciser) De magyar, avec le suffixe -phile.

Adjectif

Singulier Pluriel
Masculin
et féminin
magyarophile magyarophiles
\ma.ɡja.ʁɔ.fil\

magyarophile \ma.ɡja.ʁɔ.fil\ masculin et féminin identiques

  1. Qui aime la Hongrie, son peuple, la culture et sa langue.
    • Ce délai eut pour cause l’opposition des membres magyarophiles de l’Université qui considéraient Petar Skok comme un séparatiste et un adversaire de l’union avec la Hongrie. — (revue Onoma, 1956, volume 6, page 150)

Traductions

Nom commun

Singulier Pluriel
Masculin
et féminin
magyarophile magyarophiles
\ma.ɡja.ʁɔ.fil\

magyarophile \ma.ɡja.ʁɔ.fil\ masculin et féminin identiques

  1. Personne qui aime la Hongrie, son peuple, la culture et sa langue.
    • L’apparente facilité avec laquelle Bénès et ses collègues acceptèrent remarques, conseils et remontrances de Noël ne doit pas nous dissimuler, comme le soulignait le magyarophile Anatole de Monzie, que cette souplesse avait déjà permis plusieurs fois aux Tchèques, en partie, de s’immiscer dans l’élaboration de la politique étrangère de la France. — (Yves Beauvois, Léon Noël: De Laval à de Gaulle via Pétain (1888-1987), 2001)
    • Ils doivent tout à la Hongrie, nous assurent les magyarophiles ; grâce à elle, ils sont dans un état plus florissant que s’ils appartenaient à la Roumanie. — (Georges Servières, À travers l’Autriche-Hongrie, 1908, page 175)

Traductions