manuscrits \ma.nys.kʁi\
Plus encore, l'édition de 1528 « désarthurianise » Perceforest : le prologue multiplie les références antiques ou contemporaines et n’évoque jamais Arthur ou la Table Ronde, les titres de chapitres, comparés aux rubriques des divers témoins manuscrits, gomment les allusions arthuriennes (mises à part celles à Morgane, qui, nous l’avons vu, n’est plus véritablement arthurienne).— (Christine Ferlampin-Acher, Artus de Bretagne et ses suites, Perceforest, Isaïe le Triste, Le Conte d uPapegaut: les romans néo-arthuriens en prose français constituent-ils un corpus?, 2017)
Singulier | Pluriel |
---|---|
manuscrit | manuscrits |
\ma.nys.kʁi\ |
manuscrits \ma.nys.kʁi\ masculin
Le Moyen Âge les confond : si, dans les textes, Mélusine s’envole sous forme de serpent, dans l’iconographie qui illustre ses manuscrits elle est femme-serpent ou, le plus souvent, dragon volant ; et de même les « serpents » du Roman de la Violette ou du Lancelot en prose sont figurés comme des dragons ailés jetant du feu ; dans le Calendrier des bergers, les damnés suppliciés voient tomber sur eux des serpents « draconifiés », en ce qu’ils ont des embryons d’ailes et de pattes, le plus acharné d’entre eux ayant une tête de chien, des ailes de chauve-souris, des pattes à griffes de rapace.— (Bernard Sergent, Les Dragons, 2018, page 26)
Nombre | Singulier | Pluriel |
---|---|---|
Masculin | manuscrit \ma.nys.ˈkɾit\ |
manuscrits \ma.nys.ˈkɾit͡s\ |
Féminin | manuscrita \ma.nys.ˈkɾi.to̞\ |
manuscritas \ma.nys.ˈkɾi.to̞s\ |
manuscrits \ma.nys.ˈkɾit͡s\ (graphie normalisée)
Singulier | Pluriel |
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manuscrit \ma.nys.ˈkɾit\ |
manuscrits \ma.nys.ˈkɾit͡s\ |
manuscrits \ma.nys.ˈkɾit͡s\ masculin (graphie normalisée)