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Cette quasi-religieuse allait à l’église tous les matins, elle accomplissait les austérités claustrales, et faisait des économies pour soulager les pauvres…— (Honoré de Balzac, L’Envers de l’Histoire contemporaine, 1848, premier épisode)'
(...); il me le dit hier, et c'est ce qui m'a porté à venir si matin, pour vous informer de ses vues.— (Abbé Prévost, Histoire du chevalier de Grieux et de Manon Lescaut, 1731, rééditions Grenier-Flammarion, 1967, page 128)
Si je me suis levée si matin, c’est que je n’ai pas de temps à perdre.— (Hector Malot, La Belle Madame Donis, 1873)
on voudrait qu’il fît jour tout de suite, et l’on accuse l’aurore, même l’aurore d’été qui se lève si matin pourtant, d’être paresseuse au lit.— (Théophile Gautier, Ce qu’on peut voir en six jours, 1858, réédition Nicolas Chadun, page 45)
D’où diable vient-elle si matin ? se demanda-t-il en analysant le mouvement onduleux de la robe auquel elle imprimait une grâce peut-être exagérée.— (Honoré de Balzac, La Cousine Bette, 1846)
Voilà donc pourquoi vous me voyez si matin, très cher.— (Alexandre Dumas, Le Comte de Monte-Cristo, édition de G. Sigaux, 1981 (date de l’édition), volume 1, page 489)
Un certain dimanche d’été, nombre de fidèles partent matin de Chantefort, cruches à la main, afin de quérir l’eau sacrée au pouvoir merveilleux guérissant le taignon, ce gros mal croûteux qui vient sur le crâne des enfants en bas âge, jamais savonné dans la crainte de crever la fontanelle.— (Claude Seignolle, Le Rond des sorciers, 1993, ISBN2859407731)
Voici leur conversation : - Vous labourez bien matin ! - Je laboure de bonne heure pour faire des planches et planter des légumes.— (Le Courrier du Vietnam, Le fantôme n’est pas ingrat, site lecourrier.vn, 3 janvier 2021)
Frédéric Godefroy, Dictionnaire de l’ancienne langue française et de tous ses dialectes du IXe au XVe siècle, édition de F. Vieweg, Paris, 1881–1902 → consulter cet ouvrage
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Cel meiro’ls saintz en tal train con fal’ venaire’ls cervs matin : a clusa’ls menan et a fin.— (Cançon de Santa Fe, transcription adaptée de Robert Lafont, Histoire et Anthologie de la littérature occitane, T. I « L’Âge classique - 1000-1520 », Les Presses du Languedoc, 1997, Montpellier, page 23)
Ceux-là chassèrent les saints, du même train que le veneur fait les cerfs au matin. — (Traduction par Antoine Thomas)