Singulier | Pluriel |
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merdre | merdres |
\mɛʁdʁ\ |
merdre \mɛʁdʁ\ féminin
- Madame de ma merdre, garde à vous, car je ne souffrirai pas vos sottises. Je vous disais donc, messieurs, que les finances vont passablement. Un nombre considérable de chiens à bas de laine se répand chaque matin dans les rues et les salopins font merveille. De tout côtés on ne voit que des maisons brûlées et des gens pliant sous le poids de nos phynances.— (Alfred Jarry, Ubu roi)
16 juillet 1941 – Il vient de me téléphoner qu’il était malade ; une espèce de grosse grippe sans fièvre, avec courbatures. Ah ! zut alors, ah ! merdre.— (Benoîte et Flora Groult, Journal à quatre mains, Denoël, 1962, page 171)
Vers les mois de palotin-merdre 53 (mai-juin 1926), Torma connut une période de prospérité relative. Rentré à Paris, il soutira quelques fonds à Crevel, puis devenu correcteur d'imprimerie, .— (Jean-François Jeandillou, Supercheries littéraires: la vie et l'œuvre des auteurs supposés, Usher, 1989, page 307)
En raison de leur création par Jarry
merdre \mɛʁdʁ\
Cher Monsieur, désolée, mais je n'ai pas le temps. Revenez dans six mois ! Si possible quand vous serez guéri... ou crevé !— (Marciniak, Cuba mi amor, Éditions Publibook, 2010, p. 37)
Et merdre! comme disait le bon Roi Ubu !
Si les analystes jungiens, c'est ça ! Crève d'abord et je te prends après !
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