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Singulier | Pluriel |
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meuil | meuils |
\Prononciation ?\ |
meuil \Prononciation ?\ masculin
Les poissons qu'on trouve dans la Charente sont la tanche, la truite, l’anguille, la plie, le barbeau, le chabot, l’âton, le dard, la brème, le goujon, l’ablette et l’écrevisse. Ceux qui remontent de la mer sont la lamproie, le meuil, qui s'arrêtent le plus ordinairement à Jarnac; la gathe, et rarement l’alose.— (J.-P. Quénot, Statistique du département de la Charente, Paris : chez Deterville & Angoulème : chez Trémeau & Cie & chez J. Broquisse, 1818, p. 6)
L'indication de plusieurs espèces de poissons d’eau douce a été donnée par quelques auteurs qui n'étaient point naturalistes.— (J.-N. Vallot, Supplément à l'Ichtyologie française et Tableau général des Poissons d'eau douce de la France, dans les Mémoires de l'Académie des sciences, arts et belles lettres de Dijon, Dijon : chez Frantin, 1849, p. 166)
«Les poissons qui se pèchent dans la Vienne sont: le saumon, la truite saumonée, l'alose, la lamproie, la plie, la brème, la perche, la lotte. Les chasseurs tuent, l'été, à coups de fusil, un poisson que dans le pays on appelle Meuil, et qui est un muge. » Description topographique du district de Chatelleraut, département de la Vienne, par M. Creuzé Latouche, 1790, p. 16.
Le meuil, dont il est parlé dans cette note, est le Mugil capito, Cuvier.
Les pêcheurs du dimanche nous rapportaient : des céteaux, du meuil, du merlu ; à la saison des champignons ; des mousserons, des lactaires délicieux, des rosées des prés, des pleurotes du panicaut appelées communément argouanes.— (Kty d’O, « Josette Leroni », chap. 15 de Briser la loi du silence, 9 Editions, 2016)
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