Singulier | Pluriel | |
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Masculin et féminin |
mimétique | mimétiques |
\mi.me.tik\ |
mimétique \mi.me.tik\ masculin et féminin identiques
Pour des raisons longuement accumulées, et dont les unes sont assez claires (intérêt pour les problèmes du réalisme, du sens politique des textes dans un monde où tout visait à les déposséder dans ce domaine, à les dédimensionner), et dont d’autres certainement m’échappent mais que les malins sauront bien lire, qui me voient et me lisent du dehors et que je ne récuse pas, il se trouve que mon champ d’enquête et de réflexion est à peu près celui du roman mimétique, interprétatif et révélateur (et par là même comme autorévélé), et de la dramaturgie de même nature et portée, qui accompagnent et signalent à la fois le changement d’univers entre l’autrefois héroïque et l’aujourd'hui marchand déjà travaillé par ses propres difficultés.— (Pierre Barbéris, Le Prince et le Marchand, 1980)
Cette « vérité », l'intellectuel la situe dans la rupture que le judéo-christianisme instaure avec la violence mimétique et dans la nouveauté de sa condamnation de la violence religieuse.— (Élodie Maurot, René Girard décrypteur du sacré, journal La Croix, 6 novembre 2015, page 2)