Singulier | Pluriel |
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mirande | mirandes |
\mi.ʁɑ̃d\ |
mirande \mi.ʁɑ̃d\ féminin
Pour refouler ces proscrits, qu’on appelait des brigands, les Français élevèrent encore, dans le terminaire d’Escouloubre, une mirande, ou tour d’observation, qu’ils appelèrent le Fort-Royal.— (Histoire des Albigeois - les Albigeois et l’Inquisition, Napoléon Peyrat, 1870)
la maison avec ou sans fenêtres en croisée de pierre, mais avec dernier étage orné de ces ouvertures cintrées constituant la mirande toulousaine.— (Bulletin de la Société archéologique du midi de la France, page 317, ser.3 no.1-2 1931-1937)
et un petit degré de brique « conduira au-dessus au dernier et plus haut estaige que l’on appelle la mirande ; laquelle sera voûtée de massonnerie avec croisées . Et au lieu de fenêtres y aura des arceaulx de tous les quatre côtés » (Cité par H. Graillot, Nicolas Bachelier imagier et maçon de toulouse au XVIe siècle, Toulouse, 1914, p.340). Ce type de mirande est celui de l’hôtel Mansencal.— (La Maison de Ville à la Renaissance, 1983, Picard)