Invariable |
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mohawk \mo.ɑk\ |
mohawk \mo.ɑk\ masculin au singulier uniquement
Même le mohawk, en voie de disparition dans les années 1960, est aujourd’hui la langue d’usage dans des classes d’immersion de tout le primaire à Kanawake.— (Contact, Le magazine des diplômés et des partenaires de l’Université Laval, printemps 2008)
Singulier | Pluriel |
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mohawk | mohawks |
\mo.ɑk\ |
mohawk \mo.ɑk\ masculin et féminin identiques
Duane Fisher et Buddy Loo ignoraient cette élection, n’étaient pas mohawks mais ohlones, et pourtant se grisèrent eux aussi d’être envoyés là-haut.— (Maylis de Kerangal, Naissance d’un pont, Verticales, 2010, page 251)
J’allais hier encore écouter des Inuits sous leurs tentes, des percussions yupik et des tambours mohawk, les gens du festival, autant qu’ils le peuvent, veulent assimiler à la francophonie les minorités que le Canada a pu jadis coloniser.— ( David McNeil, 28 boulevard des Capucines, Gallimard, 2012, collection Folio, page 12)
Elle y souligne qu’à Oka, en banlieue de Montréal, l’extrême tension de 78 jours, durant l’été 1990, entre des Warriors mohawks masqués, lourdement armés, et les forces de l’ordre (la Sûreté du Québec, puis un régiment francophone de l’armée canadienne), devint, grâce aux médias, «le symbole mondial des revendications autochtones et de l’incompréhension régnant dans ce domaine».— (Michel Lapierre, « Oka et Octobre 1970, ces crises sœurs », dans ledevoir.com, 2 mars 2013 )
Cette initiative se trouve à être le fruit d’une collaboration entre la communauté mohawk et Grégoire Gollin, qui est propriétaire d’une grande partie du terrain.— (Valérie Boisclair, « La pinède comme site patrimonial : Kanesatake poursuit la municipalité d’Oka », dans radio-canada.ca, 10 janvier 2021)
Autre exemple : ces derniers jours, Joseph Facal expliquait, avec raison, que Montréal n’avait jamais été un territoire mohawk. Serge Bouchard, anthropologue réputé, et impossible à suspecter de la moindre partialité contre les autochtones, abonde aussi en ce sens.— (Loïc Tassé, « Ottawa vers la censure? », dans Le Journal de Québec, 1er février 2021)