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Étymologie
- Peut-être d’origine des langues chibchas mohán [1]
Nom commun
mojana \mo.ˈxa.na\ féminin (masculin: moján)
- Esprit malin féminin
- (Exemple en …espagnol) Cosmología palenquera
En la cosmovisión palenquera el mundo tiene tres planos: el mundo del más allá, donde habitan los muertos; el mundo del más acá, donde habitan los vivos; y el mundo de abajo, habitado por la Mojana. Entre los dos primeros, el más acá y el más allá, hay constante interacción y solidaridad. Un ejemplo de esto es la creencia de que los muertos salen en las noches para transitar por las calles del pueblo, haciendo cosas buenas o males. Esta idea viene de la tradición africana, según la cual los antepasados siguen formando parte de la comunidad. — (https://sanbasiliodepalenque.tumblr.com/)
- Cosmologie de Palenquera
Dans la vision du monde de Palenque, le monde a trois niveau: le monde au-delà, où vivent les morts; le monde d’ici bas, où vivent les vivants; et le monde d’en bas, habité par la Mojana. Entre les deux premiers, le plus ici et l'au-delà, il y a une interaction et une solidarité constantes. Un exemple de ceci est la croyance que les morts sortent la nuit pour se promener dans les rues de la ville, faisant de bonnes ou de mauvaises choses. Cette idée vient de la tradition africaine, selon laquelle les ancêtres continuent à faire partie de la communauté.
Variantes orthographiques
Références
- ↑ El moján y su contraparte femenina la mojana son seres sobrenaturales que viven en el agua de los ríos y atraen por seducción a los niños y jóvenes para que se queden con ellos. Estas figuras son comunes a muchas comunidades rurales de Colombia, indígenas como los kogui de la Sierra Nevada (Carolina Ortiz Ricaurte, c.p.), campesinas y negras. La voz es chibcha según Alario di Filippo (218), que cita una c.p. del padre Revollo: “El mohán es un ser mitológico, de cutis albo y rubia cabellera, habitador de arroyos, riachuelos y lagunas, donde suele propasarse con las mozas que allí se bañan, por lo que goza de fama de enamoradizo”. Esta semejanza
hasta en los detalles físicos sugiere una influencia indígena antigua en Palenque, pero varios pueblos de Camerún y Congo tienen una figura femenina parecida (es la nkisi o “sirena” de los Vili costeros, que encanta a los hombres; en otras partes se llama Mamíwata, del inglés Mammy Water). El moján y la mojana palenqueros tendrían pues dos orígenes culturales, amerindio y africano — (Graciela Maglia, Oralitura de San Basilio de Palenque: temas europeos, africanos y criollos)
- Le moján et son homologue féminin, le mojana, sont des êtres surnaturels qui vivent dans l'eau des rivières et attirent les enfants et les jeunes par séduction pour rester avec eux. Ces figures sont communes à de nombreuses communautés rurales de Colombie, indigènes comme les Kogui de la Sierra Nevada (Carolina Ortiz Ricaurte, c.p.), paysannes et noires. La mot est chibcha selon Alario di Filippo (218), qui cite un c.p. du Père Revollo: "Le mohán est un être mythologique, à la peau blanche et aux cheveux blonds, habitant les ruisseaux, les ruisseaux et les lagunes, où il a tendance à aller à la mer avec les filles qui s'y baignent, c'est pourquoi il est célèbre pour être amoureux. Cette similitude jusque dans les détails physiques suggère une ancienne influence indigène à Palenque, mais plusieurs peuples du Cameroun et du Congo ont une figure féminine similaire (c'est le nkisi ou «sirène» du littoral Vili, qui enchante les hommes; ailleurs c'est appelé Mamíwata, de l'anglais Mammy Water). Le moján et la mojana palenqueros auraient donc deux origines culturelles, amérindienne et africaine