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(Génériquement)(Sens propre) Marque la possession ou l’appartenance. Le possesseur est le locuteur, ce qu’il possède est au masculin singulier. Note : Il s’emploie également dans le cas où la chose possédée est un féminin commençant par une voyelle ou un h muet : mon arme (caractère euphonique).
Je n’ai pas besoin qu’on ajoute qu’il a les yeux sortants, le ventre protubérant; je l’ai vu, et ces traits, gravés dans ma mémoire, suffisent pour le représenter à mon esprit.— (Nicolas-Maximilien-Sidoine Séguier de Saint-Brisson, marquis Séguier de Saint-Brisson, La philosophie du langage exposée d’après Aristote, à Paris chez Bourgeois-Maze, 1838, page 104)
Messieurs, la vérité est que ces prétendues expériences qui auraient fait bonne justice de mon arme, sont de toute fausseté.— (Perrot, Nouvelle Arme de Guerre, 1838, page 11)
Mon voisin n’a pas respecté les règles du Code civil, que puis-je obtenir en justice ?— (Jean-Michel Guérin, Nathalie Giraud, Gérer les relations de voisinage : À jour des dernières lois, chez Eyrolles, 2012, page 73)
Mon bien-aimé le plus chéri, cette nuit sont arrivées les terribles nouvelles de votre duel.— (Viviane Janouin-Benanti, Le chéri magnifique : histoire d’un crime, Cheminements, 2002, page 267)
Ô mon Jésus, pardonnez-nous, préservez-nous du feu de l’enfer ; et conduisez au ciel toutes les âmes, surtout celles qui ont le plus besoin de votre Sainte Miséricorde. — (Prière de l'ange de Fatima)
C’est ainsi que j’ai fait de mon docteur Larch un avorteur, et de Homer Wells, le jeune orphelin qu’il forme, quelqu’un qui répugne à pratiquer l’avortement.— (John Irving, Mon cinéma, aux éditions du seuil, 2013)
Mon supérieur se sent concerné par le bien être de ses subordonnés.— (Gérard Chasseigne, Cognition, santé et vie quotidienne, volume 3, chez Publibook, 2010, page 65)
(Militaire) Est une forme d’allégeance ou de soumission (obligatoire dans sa forme vocative). Note : Par dérivation de l’expression ancienne mon sire ou mon sieur. Cette forme ne s’applique pas aux grades inférieurs (caporal, sergent, …), aux maréchaux, aux amiraux et aux femmes gradées.
J’ai été réveillé à trois heures et demie du matin par mon adjudant, qui m’a dit : M. le major, dépêchez-vous de vous lever, le commandant vous demande chez lui.— (Causes politiques célèbres du dix-neuvième siècle : Procès du général Malet, chez H. Langlois fils, 1827, page 51)
À la caserne, l’adjudant demande à une nouvelle recrue : — Votre nom ? — Lévy, mon adjudant !— (Bernard Guyso, L’année du rire, City éditions, 2015)
Plusieurs femmes de condition qui avaient été priées renoncèrent à s’y rendre parce qu’elles ne pouvaient faire les frais du somptueux kimono de deuil (noir, semé du mon familial en blanc) qui était de rigueur dans la circonstance.— (Nicolas Bouvier, Le Vide et le Plein (Carnets du Japon, 1964-1970), Hoëbeke, 2004, page 132)
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Lo coms de Peitieus si fo uns dels majors cortes del mon e dels majors trichadors de dompnas, e bon cavalliers d’armas e larcs de dompnejar ; e saup ben trobar e cantar. Et anet lonc temps per lo mon per enganar las domnas.— (Vida de Guillaume IX de Poitiers (transcription par Michel Zink dans Les Troubadours - une histoire poétique, Perrin, 2013, page 33)
Cercamons si fos uns joglars de Gascoingna, e trobet vers e pastoretas a la usanza antiga. E cerquet tot lo mon lai on el poc anar, e per so fez se dire Cercamons— (Vida de Cercamon, dans Jean Boutière, A.-H. Schutz, Biographies des troubadours - Textes provençaux des XIIIe et XIVe siècles, Paris, 1964, page 9)
: Xavier Delamarre, Dictionnaire de la langue gauloise : une approche linguistique du vieux-celtique continental, préf. de Pierre-Yves Lambert, Errance, Paris, 2003, 2e édition, ISBN2-87772-237-6 (ISSN 0982-2720), page 227 et 228
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Étymologie
Du latin meum, accusatif de meus, réduit en latin tardif à mum, forme atone de meum.