Singulier | Pluriel | |
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Masculin et féminin |
morphophonémique | morphophonémiques |
\mɔʁ.fɔ.fɔ.ne.mik\ |
morphophonémique \mɔʁ.fɔ.fɔ.ne.mik\ masculin et féminin identiques
Le second mécanisme est l’apprentissage des règles productives de la morphologie, où l’apprenant déduit un concept temporel particulier (par ex., le passé, le déroulement) à partir de représentations prototypiques (par ex., ponctuel-télique, duratif-dynamique) et rattache ce concept abstrait à une forme morphophonémique particulière (par ex. -ed, -ing).— (Alex Housen, « Facteurs sémentico-conceptuels et discursivo-fonctionnels dans le développement des systèmes temporo-aspectuels », dans Temps et discours, 1998)
Singulier | Pluriel |
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morphophonémique | morphophonémiques |
\mɔʁ.fɔ.fɔ.ne.mik\ |
morphophonémique \mɔʁ.fɔ.fɔ.ne.mik\ féminin
En morphologie – en y incluant la morphophonémique (ou morphophonologie) – on peut citer deux modèle explicitement destinés à s’appliquer aux étapes les plus « primitives » du langage : .— (Yves Coppens et Philippe Brenot, Les Origines, 1988)
La morphophonémique du préfixe verbal d- est décrite en détail dans les importantes œuvres d’ensemble consacrées au bourouchaski.— (Elena Bashir, « Le préfixe d- en bourouchaski : deixis et point de référence », dans Bourouchaskiana, 2004)
→ voir morphophonologie