Singulier | Pluriel | |
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Masculin et féminin |
myroblyte | myroblytes |
\mi.ʁɔ.blit\ |
myroblyte \mi.ʁɔ.blit\ masculin et féminin identiques
Le myroblyte dont il s’agit ici ne peut être que celui qui vient d’être cité, saint Nicolas, dont l’épithète est bien justifiée par la tradition ; .— (Raymond Janin, La géographie ecclésiastique de l’empire byzantin : Les églises et les monastères des grands centres byzantins, Paris : Institut français d’études byzantines, 1975, page 400)
Au pied, était aménagée une petite ouverture, soi-disant pour l’écoulement de l’eau, en réalité pour la sortie du myron, qui coulait également de la lampe et de l’icône de la sainte, une myroblyte, tout comme saint Dèmètrios.— (La géographie ecclésiastique de l’empire byzantin, tome 1 : Le siège Constantinople et le patriarcat œcuménique, introduction et notes par Jean Darrouzès, Paris : Institut français d’études byzantines, 1975, page 411)
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Masculin et féminin |
myroblyte | myroblytes |
\mi.ʁɔ.blit\ |
myroblyte \mi.ʁɔ.blit\ masculin et féminin identiques
La translation du corps de l’évêque myroblyte, de Myre à Bari où il repose depuis le 9 mai 1087, n'a pas interrompu le précieux charisme, le tombeau de saint Nicolas n'a point cessé d'être glorieux, et, comme tout pèlerin de Bari peut le voir de ses yeux, la « manne » ou liqueur miraculeuse continue à découler de ses ossements.— (Eugène Marin, Saint Nicolas: évêque de Myre (vers 270-341), Paris : Librairie Victor Lecoffre, 1917, p. 143)
Il existe déjà un certain nombre d’icônes (et même de simples reproductions) qui suintent de l’huile : on les appelle « myroblytes », à savoir « d’où jaillit (sic) un baume parfumé », le myron étant le saint chrême (et les myrophores les saintes femmes qui vont embaumer le Christ).— (Yves Daoudal, Le blog d’Yves Daoudal, « Un nouvelle icône myroblyte », 3 mars 2015)