Préposition |
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n’empêche que \n‿ɑ̃.pɛʃ kə\ |
n’empêche que \n‿ɑ̃.pɛʃ kə\
Et à Sébastopol, monsieur, fichtre ! on ne peut pas dire que ç’a été commode. Des tempêtes à vous déraciner les cheveux, un froid de loup, toujours des alertes, puis ces sauvages qui, à la fin, ont tout fait sauter ! N’empêche pas que nous les avons fait sauter eux-mêmes, oh ! en musique et dans la grande poêle à frire !…— (Émile Zola, La Débâcle, 1892)
Mais ça n’empêche qu’on devrait les coller au mur, les canailles qui viennent vous décourager, quand on a déjà tant de peine à se conduire proprement.— (Émile Zola, La Débâcle, 1892)
Joseph de Maistre dresse avec puissance la figure d'un catholicisme intraitable, incroyable, odieux, tel que le peut souhaiter un homme qui l'exècre. N'empêche que l'honnêteté intellectuelle de Cioran l'oblige à convenir qu'il y a loin du catholicisme d'un de Maistre à la religion des mystiques.— (François Mauriac, Bloc-Notes 1952-1957, Paris : Flammarion, 1958, cité dans Philippe Barthelet, Joseph de Maistre, L'Âge d'Homme, 2005, page 789)
— Oh toi, ronchonne-t-elle, tu joues l’esprit fort, n’empêche que tu dormais mal, souviens-toi. Et que t'as été bien content de rhabiter Paris.— (Frédéric Dard, San-Antonio, no 63 : Faut être logique, Éditions Fleuve Noir, 1967)
« Ça lui passera ! Et puis, il fait de mal à personne ! » affirmait monsieur Lecreux, qui ne trouvait rien à y redire.— (Lionel Salaün, Bel-Air, Éditions Liana Levi, 2013, chapitre 3)
« N'empêche que ça ne me rassure pas de le savoir tout seul, là-haut ! »