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Il n’était plus qu’une loque humaine anéantie par la nausée.— (H. G. Wells, La Guerre dans les airs, 1908, traduction d’Henry-D. Davray et B. Kozakiewicz, Mercure de France, Paris, 1910, page 252 de l’édition de 1921)
À midi, elle n’avait rien bu, rien mangé. J’avais insisté, mais la seule vue des saucisses et des œufs brouillés lui donnaient, avait-elle dit, des « projets de nausées ».— (Philippe Labro, L’étudiant étranger, Gallimard, 1986, page 252)
L'usage d'alcool entraîne une accumulation d’acétaldéhyde à l'origine de nausées, de vomissements, d'un flush facial et de malaises.— (Laurent Karila, Idées reçues sur l'addiction à l'alcool: comprendre et sortir de la dépendance, Éditions Le Cavalier Bleu, 2018)
Lors de l’intoxication aiguë, la présentation classique initiale est la triade : céphalées, nausées, vomissements et sensations vertigineuses.— (« Pathologies toxiques non tumorales », chap. 8 de Toxicologie, ouvrage collectif sous la direction de Xavier Coumoul, Éditions Dunod, 2017, rééd. 2019, page 192)
D’autres fois, il clamait à pleine voix : — J’aime l’Angleterre, mais le puritanisme, voyez-vous, je l’abhorre, il me donne la nausée, il me soulève le cœur.— (H. G. Wells, La Guerre dans les airs, 1908, traduction d’Henry-D. Davray et B. Kozakiewicz, Mercure de France, Paris, 1910, page 36 de l’édition de 1921)
Tout ce qu’il entendait autour de lui, les tuyaux refilés d’une oreille à l’autre, les vaines discussions d’intérêts sordides, les propositions abracadabrantes, lui occasionnaient parfois des nausées.— (Victor Méric, Les Compagnons de l’Escopette, Éditions de l’Épi, Paris, 1930)
la journée passait, inutile, superflue, fatigante. Chaque mouvement provoquait, non de la douleur, mais, pire encore, une nausée. Pas la maladie, pas la faiblesse du corps, mais cette nausée. — (Roman Sentchine, Les Eltychev, Éditions Noir sur Blanc, Lausanne, 2009, page 232)