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(XIXe siècle) De l'arabe. Dans l'arabe populaire en Afrique du Nord نك nik (« faire l'amour »), de l'arabe classique نكح nakaḥa (percer, forer; cohabiter avec une femme; en parlant des animaux, couvrir la femelle), ou de نكاح nikāḥ (« coït »).
(XIXe siècle) au sens de gagner au jeu, d'après le TLFI
au sens classique
nic: Le mot ressemble au mot nice (anglais et ancien français) lui-même du latin nescius
Le TLFI documente l'utilisation du mot nic au (XIIIe siècle)
Attestation du terme nique
(XIVe siècle) (selon réédition du (XIXe siècle)) Mathéolus et Jean Le Fèvre écrivent "faire à son mari la nique" au vers 1056 en page 74 de la réédition dans Les lamentations de Matheolus et Le livre de Leesce, de Jehan Le Fèvre, de Ressons : (poèmes français du XIVe siècle). T.1, Les lamentations de Matheolus (Tome 2)
(c. 1507) Un des premiers usages en langue française "Cette cité de nique appartenait à un puissant homme" est attesté dans Les neuf preux, en page f325, feuille CCIII, pour désigner une ville proche de Constantinople, possiblement Nicée devenue İznik, nom pouvant avoir pu être hérité du latin contemporain de cette époque.
(c. 1584) un traducteur d'Horace écrit "je t'ôterai (diras tu) tes biens:pource la nique." en page 308 de Les oeuvres de Q. Horace Flacce ,... mises en vers françois, partie traduictes, parties veues et corrigées de nouveau par M. Luc de La Porte
(c. 1585)Noël Du Fail conjugue "faire la nique" de deux manières distinctes en page 42 et 218 dans Les Contes et discours d'Eutrapel. Par le feu Seigneur de la Herissaye, gentilhomme breton / Ridentem quid vetat dicere verum ? Le ris n'empesche pas qu'on ne die verité. ; Horatius. Omne tulit punctum qui miscuit utile dulci. Qui profite & qui plaist a gagné tout l'honneur.
Puis, en 1960, il a été embauché comme commis à la Régie des alcools qui, connue jusque-là sous le nom de Commission des liqueurs, était un des pires « niques à patronage » de la fonction publique. — Le Devoir 31 mars 2015
nique à feu ou nic à feu : tas de matières inflammables mal entreposées ; ou maison particulièrement vulnérable contre le feu, pour sa basse qualité ou manque d'entretien ou autres raisons ; ou ensemble de maisons proches les unes les autres pouvant facilement se communiquer un incendie.
Toutefois, on ne porte aucune attention au patrimoine, et une des plus vieilles maisons du Vieux-Terrebonne, la maison Prévost, est détruite au coin des rues des Braves et Saint-François. Vacante et délaissée, elle était, aux yeux des gens, un «nique à feu» et une plaie visuelle... — journal La Revue de Terrebonne et de Mascouche, 15 déc 2015, https://web.archive.org/web/20180706135427/http://www.larevue.qc.ca/chroniques_un-brin-histoire-n34987.php
nique à poux : endroit propice au développement des poux, animal ou cuir chevelu humain ; par extension, tête (dépréciatif).