non belligérant

Voir non-belligérant.

non belligérant \nɔ̃ bɛ.li.ʒe.ʁɑ̃\

1. Variante orthographique de non-belligérant.
   • le pays se devait d’être aussi uni et aussi fort que possible pour faire face aux deux grands problèmes qu’il lui fallait maintenant résoudre : sa place de petite nation non belligérante dans la paix et dans l’ordre international nouveau; sa place de grande puissance régionale. — (Jean-Pierre Mousson-Lestang, Le parti social-démocrate et la politique étrangère de la Suède (1914-1918), Publications de la Sorbonne, 1988, page 515)
   • Chaque pays non belligérant, tout en gardant sa neutralité, aurait le droit de manifester à l’un, ou mieux, aux deux belligérants sa solidarité médicale, en aidant officiellement malades et blessés. — (André Soubiran, Le baron Larrey chirurgien de Napoléon, Fayard, 1966)
   • En trois semaines, 134 bateaux alliés et non belligérants sont coulés par les forces allemandes : c’est le premier bilan de la guerre sous-marine à outrance. — (1917 — La Première Guerre Mondiale, éditions Chronique, collection Petites chroniques, 2014)

non belligérant \nɔ̃ bɛ.li.ʒe.ʁɑ̃\ masculin

1. Variante orthographique de non-belligérant.
   • RDC: Table ronde des non belligérants en Belgique — (Titre sur le site reliefweb.int, 15 janvier 2002)