Invariable | |
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Masculin et féminin |
où la main de l’homme n’a jamais mis le pied \u la mɛ̃ də l‿ɔm n‿a ʒa.mɛ mi lə pje\ |
où la main de l’homme n’a jamais mis le pied \u la mɛ̃ də l‿ɔm n‿a ʒa.mɛ mi lə pje\
Nous faisons quelques pas le long de la baie, regardant ces rives primitives , où « la main de l’homme n’a jamais mis le pied » , comme dirait M. Prudhomme !— (Pierre Bertin, Aux empires du soleil, 2e carnet de voyage : relation de la Tournée Renaud-Barrault, accomplie d’avril à juillet 1956: Mexique, Pérou, Équateur, Colombie, Venezuela, La Guadéloupe, La Martinique, Haïti, Éditions R. Julliard, 1957, page 232)
Le climax est l’équilibre spontané vers lequel va s’orienter une végétation ou une couverture végétale laissée à elle-même, cette forêt vierge où, selon l’expression populaire, « la main de l’homme n’a jamais mis le pied ».— (Christian Brodhag, Objectif terre : les Verts, de l’écologie à la politique, Éditions Félin, 1990, page 47)
Il ne reste plus d’espace complètement sauvage, on cherchera en vain l’endroit « où la main de l’homme n’a jamais mis le pied ». Marx disait déjà que, à l’exception de quelques atolls des mers australes, la nature n’existe pas et Callicott a raison de nous rappeler qu’il n’y a rien là de récent : .— (Catherine Larrère, « Ordre biologique, ordre technologique, le cas de l’écologie », dans Ordre biologique, ordre technologique, dirigé par Franck Tinland, Éditions Champ Vallon, 1994, page 246)