Singulier | Pluriel |
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orchidologie | orchidologies |
\oʁ.ki.dɔ.lɔ.ʒi\ |
orchidologie \oʁ.ki.dɔ.lɔ.ʒi\ féminin
L’orchidomanie du XIXe siècle avec ses excès a fait place à une orchidologie beaucoup plus raisonnée, en particulier au sein de sociétés d’amateurs et dans de nombreuses expositions qui permettent de les faire mieux connaître et admirer.— (Jean-Claude Devergne & Josette Albouy, Maladies à virus des plantes ornementales, INRA Editions, 1998, p. 340)
Les études, riches d'observations précises, se multiplièrent, faisant de l’« orchidologie » une véritable science. On était loin de la fantaisie de certains botanistes des siècles précédents ; comme cette affirmation au XVIIe siècle du jésuite Kircher : « Les orchidées naissent en terre de la force séminale latente des cadavres pourris de certains animaux, sinon de leur semence même lorsqu’ils s'unissent sur les montagnes et dans les prairies. »— (Jean-Baptiste de Vilmorin & Marcel Clébant, Le jardin des hommes: vagabondages à travers l’origine et l’histoire des plantes cultivées, Le Pré aux Clercs, 1991, p. 285)
Une histoire de l’orchidologie française . Livre écrit par Pierre Jacquet. Édition Société française d’orchidophilie— (Un livre sur l’orchidologie sur www.orchidsinmyhouse.com)