Singulier | Pluriel |
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panier à mouches | paniers à mouches |
\pa.nje a muʃ\ |
panier à mouches \pa.nje a muʃ\ masculin
L’adoption au cours du XIXe siècle des ruches à rayons mobiles permet à l’apiculteur d’avoir une meilleure gestion de ses essaims. Deux écoles « fixistes » (utilisant les paniers à mouches à rayons fixes traditionnels) et « mobilistes » (utilisant les ruches à hausse ou à cadres mobiles) sont en présence. Au début du XXe siècle, la situation a encore peu évolué, au regret de certains.— (Pierre-Olivier Fanica, Un exemple d’apiculture transhumante : le gâtinais → lire en ligne)
Les paniers à mouches traditionnels conviennent à tout le monde : les mouchiers qui pratiquent l’étouffage, ceux qui produisent les essaims et les marchands qui font le négoce des ruches. Vers 1840, les apiculteurs achètent ces ruches 60 ou 80 centimes.— (Pierre-Olivier Fanica, Un exemple d’apiculture transhumante : le gâtinais → lire en ligne)
L’achat des ruches donne lieu à un commerce important entre les régions qui produisent les essaims et celles qui produisent le miel. Les paniers à mouches très peu onéreux à confectionner nécessitent une surveillance minime. Pour cette raison, les intermédiaires qui achètent les ruches et les transportent, les préfèrent-ils aux ruches à rayons mobiles.— (Pierre-Olivier Fanica, Un exemple d’apiculture transhumante : le gâtinais → lire en ligne)