partisant

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partisant \paʁ.ti.zɑ̃\

1. (Vieilli) Variante de partisan.
   • Ainsi, pendant qu'une populasse ennemie de son repos redoubte un légitime empire, elle se rend partisante et esclave des passions et de la rage d'un homme insolent et du tout insupportable. — (M.L. Cimber & Jean Louis Félix Danjou, Archives curieuses de l'histoire de France depuis Louis XI jusqu'à Louis XVIII., 1836)
   •  ; ce fut à Louvain , qu'il put voir de près les hommes qui dirigeaient l'opinion publique sous un gouvernement dont les ressorts étaient affaiblis : les uns étaient rigoristes et les autres partisants des opinions relâchées. — (Félix Victor Goethals, Lectures relatives à l'histoire des sciences, des arts, des lettres, des mœurs et de la politique en Belgique, t.1, 1837)
   • La médecine de nos aïeux, on le voit, n'était pas partisante de la diète. — (J. B. E. Jourdan, Ephèmerides historiques de la Rochelle , 1861)
   • L'Amérique étant très partisante également de ces mesures nouvelles, il est pour ainsi dire certain que ces deux pays finirons par accepter le système métrique. — (D. de Prat, Nouveau manuel complet de filature; 1^re partie: Fibres animales & minérales, Encyclopédie Roret, 1914)
   • Une femme peut être députée, donc partisante de la parfaite égalité des sexes. — (Gustave Neuhaus, Bréviaire de l'antiféminisme, § 95 ; Éditions des Cassardes, Neuchatel , s.d., p. 44)

• La prononciation \paʁ.ti.zɑ̃\ rime avec les mots qui finissent en \zɑ̃\.