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PATAMAR, (Hist. mod.) c’est le nom qu’on donne dans l’Indostan ou dans les états du grand-mogol, à des messagers qui vont d’une ville à l’autre.— (« Patamar », dans L’Encyclopédie, 1751)
Les patamars étaient des coureurs, porteurs des plis pressés.— (Société de l’Histoire des Colonies Françaises)
Nous partîmes de Cochin le 26 octobre, pour nous rendre par un patamar à Tellichery, où nous arrivâmes le 29.— (Thomas Howel, Voyage en retour de l’Inde, traduit de l’anglais par Théophile Mandar, 1796)
Parmi eux, le patamar, caboteur de Bombay, véloce et de grande capacité de charge, est qualifié de meilleur navire de l’Inde.— (Tous les bateaux du monde, 2010)
Na manhã do dia 16 de abril, o Dr. Bernard Rieux saiu do consultório e tropeçou num rato morto, no meio do patamar. No momento, afastou o bicho sem prestar atenção e desceu a escada.— (Albert Camus, traduit par Valerie Rumjanek, A peste, Editora Record, 2017)
Le matin du 16 avril, le docteur Bernard Rieux sortit de son cabinet et buta sur un rat mort, au milieu du palier. Sur le moment, il écarta la bête sans y prendre garde et descendit l’escalier.
Atravessamos Moscovo num Volga preto de vidros fumados e eu quase estava à espera que me vendassem os olhos, mas não, os meus anjos da guarda contentam-se em inspecionar rapidamente o átrio do prédio, em seguida a escada, e por fim o patamar que dá para um pequeno apartamento sombrio, mobilado como um squat, onde dois outros cabeças rapadas matam o tempo a fumar cigarros.— (Emmanuel Carrère, traduit par Manuela Torres, Limonov, Sextante Editora, 2012)
Nous traversons Moscou dans une Volga noire aux vitres fumées et je m’attendrais presque à ce qu’on me bande les yeux, mais non, mes anges gardiens se contentent d’inspecter rapidement la cour de l’immeuble, puis la cage d’escalier, le palier enfin, donnant sur un petit appartement sombre, meublé comme un squat, où deux autres crânes rasés tuent le temps en fumant des cigarettes.