pharyngo-staphylin \fa.ʁɛ̃.ɡɔ.sta.fi.lɛ̃\
Dans le langage courant, on remarquait, comme cela arrive quand on parle en se bouchant le nez, des arrêts destinés à permettre l’issue hors de la bouche de l’air accumulé dans cette cavité par la production d’une série de sons, car cet air ne pouvait plus, comme dans l’état normal, s’échapper par les fosses nasales insensiblement et sans interruption de la parole, en passant par la fente pharyngo-staphyline entr’ouverte.— (Hermann-Julius Paul, traduit par Ar. Verneuil, De l’adhérence du voile du palais à la paroi postérieure du pharynx à la suite d’ulcérations et de ses conséquences, Archives générales de médecine, VIe série, tome 6, 1865)
pharyngo-staphylin \fa.ʁɛ̃.ɡɔ.sta.fi.lɛ̃\ masculin
Les muscles extrinsèques sont au nombre de deux : le muscle du pilier antérieur ou glosso-staphylin, extrêmement peu volumineux, et le muscle du pilier postérieur ou pharyngo-staphylin, beaucoup plus large et plus important (fig. 381 ).— (Benjamin Anger, Nouveaux éléments d'anatomie chirurgicale, J.-B. Baillière, 1869)
Tout ou partie de cet article est extrait du Dictionnaire de la langue française, par Émile Littré (1872-1877), mais l’article a pu être modifié depuis. (pharyngo-staphylin)