phytovore \fi.to.vɔʁ\
M. Aymard voit dans l'appareil cultriforme des félidés sus-nommés une preuve de plus de l'une des grandes lois d'harmonie de la création animale. A côté des animaux phytovores , la nature a toujours placé des animaux carnassiers destinés à empêcher que la propagation des premiers, en devenant trop considérable, ne rompit l'harmonie générale.— (Mémoires et procès-verbaux du Congrès scientifique de France, 22e session, sections 1 & 6 réunies, séance du 17 septembre 1855, p.319)
La nature a prévenu cet amas par des particularités dans leur économie, telles que des intestins courts ; au lieu que dans les phytovores , on trouve de longs intestins qui peuvent engendrer la putridité.— (William Cullen, Cours de matière médicale, traduit de l'anglois par L. Caullet de Vaurmorel, Paris : chez Didot jeune & chez Méquignon l'aîné, 1787, volume 1, page 200)