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La composition de l’atmosphère et la masse de Kepler-442 b laissent penser qu’elle pourrait être une planète super-habitable.— (Planète super-habitable, Wikipédia français)
Ces planètes "superhabitables" pourraient en effet être réchauffées grâce à un effet de marée, déjà constaté sur des lunes de Jupiter ou de Saturne, et donc être propice à la vie tout en se trouvant hors de la zone habitable telle qu’on la conçoit habituellement.— (JP Fritz, Chroniques de l’espace-temps : De la vie autour d’Alpha du Centaure?, Blogs de L’Obs (espace-temps.blogs.nouvelobs.com), 24 janvier 2014)
En fait, certaines exoplanètes très différentes de la Terre auraient de bien meilleures chances de développer et de conserver des biosphères stables. Ces « planètes superhabitables » seront les cibles les plus propices pour rechercher de la vie hors du Système solaire.— (René Heller, Des exoplanètes plus accueillantes que la Terre, dans Pour la Science (www.pourlascience.fr), no 449, mars 2015)
Pour symptôme, un numéro spécial de la revue de vulgarisation Science et Vie consacré aux « paradis extrasolaires », à des « terres plus viables que la nôtre » : il y aurait, nous dit le dossier, plus de cinq milliards de planètes superhabitables ! De quoi galvaniser tout colonisateur !— (Frédéric Neyrat, La Part inconstructible de la Terre : Critique du géo-constructivisme, Éditions du Seuil, mars 2016)
