Bonjour, vous êtes venu ici pour chercher la signification du mot pleinairisme. Dans DICTIOUS, vous trouverez non seulement toutes les significations du dictionnaire pour le mot pleinairisme, mais vous apprendrez également son étymologie, ses caractéristiques et comment dire pleinairisme au singulier et au pluriel. Tout ce que vous devez savoir sur le mot pleinairisme est ici. La définition du mot pleinairisme vous aidera à être plus précis et correct lorsque vous parlerez ou écrirez vos textes. Connaître la définition depleinairisme, ainsi que celles d'autres mots, enrichit votre vocabulaire et vous fournit des ressources linguistiques plus nombreuses et de meilleure qualité.
Cette entrée est considérée comme une ébauche à compléter en français. Si vous possédez quelques connaissances sur le sujet, vous pouvez les partager en modifiant dès à présent cette page (en cliquant sur le lien « modifier le wikicode »).
Étymologie
(milieu XIXe siècle) Contraction de plein air avec le suffixe -isme.
pleinairisme. Terme fréquemment employé pour définir la tendance générale qui dans la seconde moitié du XIXe siècle porte les peintres à représenter des scènes d’extérieur et les jeux de la lumière solaire. Le pleinairisme procède des mêmes ambitions que l’impressionnisme sans en avoir la nouveauté technique (touche morcelée, couleur pure). L’art des pleinairistes qui d’une façon générale doit beaucoup au réalisme, se situe aux frontières de la peinture de genre et de l’impressionnisme, tantôt préludant à celui-ci, tantôt lui étant concomitant, ce qui est le cas chez les Français, James Tissot, Cazin, Roll, Jeanniot et surtout Bastien-Lepage dont l’influence sur des artistes anglais, américains et scandinaves a été très importante.— (Sophie Monneret, L'Impressionnisme et son époque : dictionnaire international illustré, volume 3, 1981)
La musique de Polignac n’avait rien de wagnérien : il cherchait à créer un équivalent musical du pleinairisme et voulait donner l’impression que les airs qu’il composait étaient chantés « dans la prairie ».— (Julian Barnes, L’Homme en rouge, Mercure de France, 2020, traduction Jean-Pierre Aoustin, page 102)