poppers \po.pəʁs\ masculin
Un autre soir, Patrick m'a emmené dans un endroit où on achète du poppers, la drogue qui se « sniffe ». Ils avaient pas de poppers, mais le type derrière le comptoir a dit qu'il avait un truc qui marchait aussi bien. Alors Patrick en a acheté. C'était une bombe aérosol. On en a tous les deux sniffé un peu et là, on a vraiment cru qu'on allait mourir d'une crise cardiaque, je te raconte pas.— (Stephen Chbosky, Pas raccord, Sarbacane, 2007, page 225.)
Nous devons tous participer, c'est impératif et c'est chouette. Quelques petites snifettes de poppers nous donnent du cœur au ventre et de la sensibilité aux tripes.— (Jean-Marc Brières, Dur ! Dur ! Dur ! : texte érotique gay, Éditions Textes Gais, 2013)
Sur les images, on voit l’auteur en train d’acheter un flacon de poppers, cette substance contenant des nitrites d’alkyle qui est inhalée pour son effet euphorisant, pour moins de 5 € dans un Carrefour City de Clermont-Ferrand (Puy-de-Dôme).— (journal 20 minutes, édition Paris-IDF, 29 mars 2024, page 15)