prêtable

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Étymologie

(XVIIIe siècle) Mot dérivé de prêter, avec le suffixe -able.

Attestations historiques

(XVIe siècle) Prestable. — (Randle Cotgrave)

Adjectif

Singulier Pluriel
Masculin
et féminin
prêtable prêtables
\pʁɛ.tabl\

prêtable \pʁɛ.tabl\ masculin et féminin identiques

  1. Qui peut être prêté.
    • Dans la supposition contraire, lorsque l’industrie produit moins, et que l’économie fait place à la dissipation, la masse des fonds prêtables diminue nécessairement. — (Heinrich Friedrich von Storch, Cours d'économie politique, ou Exposition des principes qui déterminent la prospérité des nations, tome second, Rey et Gravier, Paris, 1823, page 245)
    • Toutes ces variations, et cent variations analogues, tout aussi indépendantes de la volonté de l’homme, produisent forcément des variations dans la quantité et le besoin d’argent, c’est-à-dire de capital prêtable. — (Ignaz Einhorn Horn, La liberté des banques, Guillaumin et Cie, Paris, 1866, page 146)
    • En 1907, le succès des envois de Lucien Jonas au Salon des artistes français, où tous sont achetés immédiatement, le dépouille d’œuvre majeure prêtable au salon valenciennois. — (Nicolas Buchaniec, Salons de province: les expositions artistiques dans le nord de la France, 1870-1914, Presses universitaires de Rennes, 2010, page 26)
  2. (Vieilli) Qui s’étend aisément, extensible.
    • L’état du col de la matrice n’est pas le même à toutes les femmes. Il y en a qui, dès les premières douleurs, l’ont émincé, effacé, mou, prêtable, ne faisant plus qu’une même continuité avec le corps & le fond de ce viscère ; . — (François-Ange Deleurye, Traité des accouchemens, en faveur des élèves, P. Fr. Didot le jeune, Paris, 1777, page 216)

Dérivés

Traductions

Références