proclamable

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Étymologie

(1842)[1] Dérivé de proclamer, avec le suffixe -able.

Adjectif

Singulier Pluriel
Masculin
et féminin
proclamable proclamables
\pʁɔ.kla.mabl\

proclamable \pʁɔ.kla.mabl\ masculin et féminin identiques

  1. Que l’on peut proclamer.
    • Si j'ai choisi ces deux catégories d'êtres dont l’une est infiniment plus évoluée que la nôtre et a réalisé cette égalité dont certains d'entre nous souhaitent l’avènement, mais qui n’est momentanément proclamable qu’aux frontons des monuments publics et notamment de la Morgue, c’est afin de mieux montrer, en opposant deux extrêmes, combien la différenciation que je veux établir entre les divers animaux terrestres risque d’être plus précise et raisonnable que celle qui se base sur une intelligence et un instinct indéfinissables, ou du moins bien mal définis jusqu’à ces jours. — (Charles Derennes , Le bestiaire sentimental III : Émile et les autres, Albin Michel, 1924, page 63)
    • cependant la contemplation du visage peint s’étant teintée d’enthousiasme amoureux, le personnage hiérarchise avec quelque insistance les deux fascinations afin que la seconde demeure proclamable. — (Philippe Berthier, Barbey d’Aurevilly 12 : Sur "Un prêtre marié", dans La Revue des Lettres modernes n° 726, 1985, page 9)
    • et même si le premier mot de la théologie est concrètement l’annonce d’une fin proche et déjà là (c’est-à-dire d’un dernier mot), il impose de façon pressante la méditation du commencement : faute de quoi le kérygme sera peut-être proclamable, mais ne sera pas évidemment pensable. — (Jean-Yves Lacoste, Note sur le temps: essai sur les raisons de la mémoire et de l'espérance, Presses universitaires de France, 1990, page 85)

Traductions

Références

  1. Figure dans la première édition de Enrichissement de la langue française : dictionnaire de mots nouveaux de Jean-Baptiste Richard de Radonvilliers, Paris, 1842, page 353.