Singulier | Pluriel |
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prostipute | prostiputes |
\pʁɔ.sti.pyt\ |
prostipute \pʁɔ.sti.pyt\ féminin
Un jour qu’il fait nuit (comme disait Desnos), une femme l’appelle au secours, en pleine rue. Tu montes, chérie ? qu’il lui dit au volant de sa bagnole. Pan, dans le mille. La fille, Katia (aarghhh ! Bernadette Lafont), est prostipute. Elle tapine en bourg (comme disait Bashung).— (« Galabru, vieux maquereau à Carcassonne (11) : Il joue « Monsieur Amédée » au théâtre municipal », site La Dépêche du Midi, article publié le 18 novembre 2000)
Les femmes, c’est capricieux, en somme. Elles se donnent à ceux qui leur plaisent, mais crient au viol quand un autre les entreprend. Ou alors elles s’admettent prostiputes. Dans le fond, c’est pas tellement néfaste, prostipute.— (Frédéric Dard, Mon culte sur la commode, San Antonio #100, Fleuve Noir, 1979)
Enfin, c'eût pu être pire : elle aurait pu entrer dans les ordres ou s’engager comme prostipute en Sud Amérique. La Police représente un moindre mal.— (Frédéric Dard, Baise-ball à la Baule, San Antonio #103, Fleuve Noir, 1980)