Singulier | Pluriel |
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puéraire | puéraires |
\py.e.ʁɛʁ\ |
puéraire \py.e.ʁɛʁ\ féminin
La route descendait à travers une jungle de puéraires mortes— (Cormac McCarthy, La Route, 2006, Éditions de l’Olivier, 2008, traduction de François Hirsch, page 159)
on admire la pleine lune de la quinzième nuit du huitième mois de l’ancien calendrier lunaire : tsuki-mi, « contempler la lune ». Cette nuit-là, on dispose des rameaux de miscanthe et quelque autre des « sept herbes de l’automne » désignées comme telles depuis la première anthologie poétique japonaise, le Manyôshû, au VIIIe siècle : le plus souvent la campanule, mais aussi la patrinia, la puéraire, l’eupatoire, l’œillet, ou encore la fleur du septième mois au jeu de hanafuda : le lespédèze (hagi). Et ainsi l’on contemple la lune, non sans savourer quelques coupes de saké.— (Véronique Brindeau, Hanafuda – Le Jeu des fleurs, Picquier poche, 2014, pages 63-64)