Singulier | Pluriel | |
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Masculin et féminin |
publiphile | publiphiles |
\py.bli.fil\ |
publiphile \py.bli.fil\ masculin et féminin identiques
C'est la publicité qui nous en fournira le meilleur exemple. Les années 1980 constituent une sorte de parenthèse où les publicitaires surfent sur un courant de mode « publiphile » après une longue période de « publiphobie », et gagnent une liberté qu'ils n'avaient jamais eue auparavant.— (Jocelyne Aubé-Bourligueux, Cinéma, écriture et histoire dans Femmes au bord de la crise de nerfs de Pedro Almodóvar, Université de Nantes, CRINI, 1997, page 22)
Certes, l'opinion se montre cette année, pour la première fois depuis plus de vingt ans, davantage publiphobe que publiphile. Il n’empêche : elle continue de lui reconnaître une influence majeure dans les comportements d'achat et les modes de vie.— (L’État de l'opinion, Éditions du Seuil, 2005, page 331)
Singulier | Pluriel |
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publiphile | publiphiles |
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publiphile \py.bli.fil\ masculin et féminin identiques
Le portrait du « publiphile » serait donc celui d'un homme riche, dans la force de l'âge, habitant une grande agglomération. C'est dire assez l'importance des motivations personnelles et sociales dans l'accueil réservé au message publicitaire.— (Anne Marie Laulan, L'Image dans la société contemporaine, éd. Denoël, 1971, page 82)
Non, je ne suis pas « publiphobe », comme on commence à qualifier ceux qui n’aiment pas la publicité. Mais, attention : entre détester la publicité et la regarder avec plaisir, il y a une marge... Il ne dépend que des publicitaires de nous transformer en « publiphiles ».— (Le Figaro, 16 juin 1984, page 27, col. 4, 5, 6.)