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Nous avions laissé au-dessous de nous, dans la montée du bois Magnuen, les hêtres et les sapins : les pâturages seuls poussaient à l’endroit où nous étions parvenus.— (Alexandre Dumas, Impressions de voyage, La Revue des Deux Mondes T.1, 1833)
Les pâturages, enclavés dans les bois de tous côtés, sauf au levant, où des haies vives érigeaient leurs épaisses barrières épineuses, restaient d’un vert dru malgré la chaleur torride de cette fin d’été.— (Louis Pergaud, Un satyre, dans Les Rustiques, nouvelles villageoises, 1921)
Parmi les facteurs locaux, nous citerons d’abord la dégradation des pâturages causée par les abus de la transhumance, d’immenses troupeaux ayant été amenés des pays du Sud pour y trouver, pendant l’été, leur pâture.— (Ludovic Naudeau, La France se regarde : Le Problème de la natalité, Librairie Hachette, Paris, 1931)
Les landes siliceuses connaissent souvent une grande abondance de Fougères : au Pays basque la Fougère-aigle constitue d’importants pâturages qui rougeoient à l’automne.— (Henri Gaussen, Géographie des Plantes, Armand Colin, 1933, p.14)
La forêt est le lieu de pâturage le plus fréquent du bétail, elle abrite en particulier d’innombrables troupeaux de porcs.— (André Chédeville. « Les grands siècles du Moyen Âge (XIe-XIIIe siècles) », André Chédeville éd., La France au Moyen Âge. Presses Universitaires de France, 2004, pp. 37-88.)
En prairies permanentes, des modes de gestion adaptés (pâturage tournant notamment) peuvent favoriser la présence de légumineuses et leur diversité, indicateur de valeur pastorale et de qualité fourragère.— (Anne Schneider & Christian Huyghe, Les légumineuses pour des systèmes agricoles et alimentaires, Éditions Quae, 2015, page 222)