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C’est la curiosité du pêcheur à la ligne qui témoigne indubitablement de son amour naissant pour Eurydice.— (Jutta Fortin, Camille Laurens, le kaléidoscope d’une écriture hantée, 2017)
Les poissons qu'on y pêche sont d'un goût excellent; ceux qu'on estime le plus et qu'on rencontre le plus fréquemment, sont : le rouget, le maquereau, le loup, la sole, deux espèces de sardines enfin et sur-tout le mulet (vulgairement muge), dont nos pêcheurs distinguent aussi deux variétés.— (M. de Rivière, « Mémoire sur la Camargue », dans les Annales de l'agriculture française, 2e série, tome 34, Paris : chez Madame Huzard, avril 1826, page 76)
Les sardiniers et les pêcheurs de thon de Douarnenez, de Concarneau et d’Audierne, eux, sont les véritables prolétaires de la mer.— (Ludovic Naudeau, La France se regarde : Le Problème de la natalité, Librairie Hachette, Paris, 1931)
Dans cette longue, si longue obscurité, sur cette terre désespérée, stérile, vêtue d’impénétrables glaces, errent cependant deux solitaires qui s’obstinent à vivre là, dans l’horreur d’un monde impossible. L’un d'eux est l’ours pêcheur, âpre rôdeur sous sa riche fourrure et dans sa graisse épaisse, qui lui permet des intervalles de jeûne. L’autre, figure bizarre, fait l’effet, à distance, d’un poisson dressé sur la queue, poisson mal conformé et gauche, à longues nageoires pendantes. Ce faux poisson, c’est l’homme.— (Jules Michelet, La mer, L. Hachette et Cie, 1861, page 264)