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On a donné à ce genre de graminées la dénomination de vulpin, ou queue-de-renard, qui répond au mot grec latinisé alopecurus , à cause de la ressemblance qu’on a cru remarquer entre la forme de leurs épis allongés, velus et cylindriques, et celle de la queue de cet animal.— (Nouveau cours complet d’agriculture théorique et pratique, ou Dictionnaire raisonné et universel d’Agriculture, tome 14 (Ser-Suc), Paris : chez Deterville, 1823, page 335)
La Mélampyre des champs, autrement appelée blé de vache, rougeole, queue de renard , queue de loup, rougette, herbe rouge, rouge-herbe, cornette, mahon, qui est annuelle, souvent très rameuse , rougeâtre , haute d’un pied ; ses feuilles sont sessiles, lancéolées et très longues ; ses fleurs rougeâtres, tachetées de jaune, et les bractées dentées.— (Cours complet d’agriculture ou Nouveau dictionnaire d’agriculture théorique et pratique, Pourrat frères, 1837, vol. 14, page 51)
Pour obtenir cette craie en poudre très-fine, on la frotte sur des tiges de prêle ou queue de renard : ensuite on la tamise à travers un tamis de soie à tambour, dont l’intérieur est garni de quatre toiles de soie qui se succèdent par autant de degrés de finesse dans leur tissu.— (« Craie de Briançon », dans le Nouveau dictionnaire général des drogues simples et composées de Lemery, revu et corrigé par Simon Morelot, tome 1 (A-Lys) Paris : chez Rémont, 1807, p. 433)
(Botanique) Comportement du développement dans l’eau des racines d’une plante de façon très allongée et très divisée.
Pour écouler le laitier, qui s’accumulait à la partie supérieure (étant plus léger que le fer), le fondeur avait ménagé, à hauteur convenable, un conduit appelé queue de renard, d’où le nom de renardière ou goupillière, donné à ce genre de four qui permettait d’obtenir directement le fer à partir du minerai et sans passer par la fonte.— (Maurice Lecerf, Le Fer dans le monde, Payot, 1942)
Adolphe de Chesnel, Dictionnaire de technologie, étymologie et définition des termes employés dans les Arts et Métiers, tome 2, p. 711, Troisième et dernière Encyclopédie théologique, tome 29, Paris : chez Jacques-Paul Migne, 1858.