Singulier | Pluriel |
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réassignation hormono-chirurgicale | réassignations hormono-chirurgicales |
\ʁe.a.si.ɲa.sjɔ̃ ɔʁ.mɔ.nɔ ʃi.ʁyʁ.ʒi.kal\ |
réassignation hormono-chirurgicale \ʁe.a.si.ɲa.sjɔ̃ ɔʁ.mɔ.nɔ ʃi.ʁyʁ.ʒi.kal\ féminin
Pour accéder à la réassignation hormono-chirurgicale (selon l’expression employée par les médecins des équipes hospitalières associées au sein de la FPATH), la première étape est l’évaluation psychiatrique composé d’une série d’entretiens qui peuvent s’apparenter à une forme de torture psychologique : les médecins cherchent par tous les moyens à instiller le doute chez la patiente.— (Constance Lefebvre, « Femmes trans et féminisme : les obstacles à la prise de conscience féministe et le ciscentrisme dans le mouvement féministe » dans Paulein Clochec (dir.) et Noémie Grunenwald (dir.), Matérialismes trans, Hystériques & AssociéEs, 2021, page 106-107, 281 pages)
Il faut continuer de chercher à améliorer notre abord psychothérapique pour parvenir à «changer ce qu’il y a dans la tête» selon le mot de patients qui constatent les limites de la réassignation hormono-chirurgicale du sexe qui ne fait pas d’eux des hommes ou des femmes à part entière.— (Bernard Cordier, Colette Chiland et Thierry Gallarda, « Le transsexualisme, proposition d’un protocole malgré quelques divergences », dans Annales médico-psychologiques, 2001, page 190-195 )