recommençable

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Étymologie

(1842)[1] Dérivé de recommencer, avec le suffixe -able.

Adjectif

Singulier Pluriel
Masculin
et féminin
recommençable recommençables
\ʁə.kɔ.mɑ̃.sabl\

recommençable \ʁə.kɔ.mɑ̃.sabl\ masculin et féminin identiques

  1. Que l’on peut recommencer.
    • Je pouvais tout obtenir de sa tendresse empressée ; il m’aimait assez pour me conduire, - si je l’eusse d’abord guidé. Je lui ai demandé... une garçonnière ! Tout est à recommencer. Tout est, Dieu merci, recommençable. — (Colette, Claudine en ménage, Mercure de France, 1902)
    • Mais de tout ce qui est temporel, de tout ce qui est destiné à tomber dans l’histoire, de tout cet ordre au contraire, de tout ce qui tombe sous la date et dans et sous le lieu, rien n’est recommençable ou commutable, rien n’est interchangeable. Il n’est pas donné à l’homme de rien recommencer ou changer du temporel. — (Charles Péguy, Œuvres en prose: 1909-1914, tome 3, NRF Gallimard, 1927, page 376)
    • La science est une expression des relations entre objets, formulée de façon telle qu'elle donne lieu à des opérations recommençables. — (J. F. Bernard-Bécharies, Le choix de consommation, Eyrolles, 1970, page 34)

Antonymes

Traductions

Références

  1. Figure dans la première édition de Enrichissement de la langue française : dictionnaire de mots nouveaux de Jean-Baptiste Richard de Radonvilliers, Paris, 1842, page 365.