rectangulairement \ʁɛk.tɑ̃.ɡy.lɛʁ.mɑ̃\
Que l’espace absolu (qui ne limite pas lui-même un autre espace) ait trois dimensions, et que l’espace en général ne puisse pas non plus en avoir davantage, c’est ce qui est établi par la proposition que trois droites seulement peuvent se couper rectangulairement en un seul point.— (Emmanuel Kant (trad. Joseph Tissot), Prolégomènes à toute métaphysique future qui aura le droit de se présenter comme science, Paris, Librairie philosophique de Ladrange, 1865, p. 55)