Singulier | Pluriel |
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renoncule alpestre | renoncules alpestres |
\ʁə.nɔ̃.ky.l‿al.pɛstʁ\ |
renoncule alpestre \ʁə.nɔ̃.ky.l‿al.pɛstʁ\ féminin
Les fleurs timides, il est vrai, montrent plus de courage à braver ces latitudes de Sibérie ; le carnillet moussier, la gentiane, la renoncule alpestre, le réséda sésamoïde, les saxifrages, s’accrochent et épanouissent leurs corolles dans les fentes du granit le plus élevé.— (Justin Cénac-Moncaut, Histoire des peuples et des états pyrénéens (France et Espagne) depuis l’époque celtibérienne jusqu’à nos jours, tome premier, Amyot, Paris, 1860, page 14)
Les saules herbacés, les saxifrages aux feuilles opposées, le silene acaulis, les androsaces, la renoncule alpestre, la violette éperonnée, l’ancolie des Alpes, caractérisent plus particulièrement cette fraîche région.— (Louis Vulliemin, Le canton de Vaud, Delafontaine et Rouge, Lausanne, 1862, page 99)
La renoncule alpestre (R. alpestris), vous la verrez un peu partout dans les Alpes et aussi dans le Jura, depuis le Suchet vers le nord. Toute menue, courte de tige, elle attire le regard par ses délicates fleurs blanches gentiment étalées sur le sol.— (Club Alpin Suisse, Anémones et renoncules, sac-cas.ch/fr, consulté le 1er novembre 2023)