Singulier | Pluriel |
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romanité | romanités |
\ʁɔ.ma.ni.te\ |
romanité \ʁɔ.ma.ni.te\ féminin
La romanité, c'est l’esprit même de l’Église catholique, puisque l’Église est romaine. Mais ce qualificatif suppose une matérialisation, une localisation…
De fait, la romanité sur cette rive de la Méditerranée s’épanouira dans cette Afrique proconsulaire qui s’étendait à cette époque du fleuve Ampsaga (l’oued el-Kébir dans l’est de l’Algérie) à la Cyrénaïque,— (Pierre Renucci, Claude, Perrin, Paris, 2012, page 217)
L’Antiquité tardive se caractérise par un mélange de traditions antiques — ce que les historiens appellent la « romanité » —, d’apports chrétiens et d’influences « barbares ».— (Antiquité tardive sur l’encyclopédie Wikipédia )
Se forme une idéologie impériale mêlant en un tout indifférencié des éléments issus de l’héllènité, de la romanité, du judaïsme, des christianismes et du libéralisme des Lumières qui ne trouvent une unité qu’en se configurant comme civilisation occidentale et qu’en s’opposant à la civilisation islamique intrinsèquement terroriste désignée comme l’ennemi mortel dans le choc des civilisations thématisé par l’idéologue conseiller d’Empire Samuel Huntington dans un livre devenu fameux.— (André Tosel, André Tosel : "L’inhumaine humanité de la guerre" sur l’Humanité. Mis en ligne le 13 avril 2010)
La Romanité n’est point un morceau de l’Evangile.— (Henri-Joseph Dulaurens, L’Arretin, 1763)
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