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Ce fut en l’année 566 que la cérémonie des noces eut lieu, avec un grand appareil, dans la ville royale de Metz.— (Augustin Thierry, Récits des temps mérovingiens, 1er récit : Les Quatre Fils de Chlother Ier — Leur caractère — Leurs mariages — Histoire de Galeswinthe (561-568), 1833, éditions Union Générale d’Édition, 1965)
Les députés se demandèrent donc si la sanction royale étaient indispensable à la validité des textes constituants. . Les lois constitutionnelles ne devaient donc pas être sanctionnées par le roi.— (Jacques Godechot, Les constitutions de la France depuis 1789, Garnier-Flammarion, 1970, p.28)
Maison royale : Tous les princes et toutes les princesses du sang royal.
Famille royale : Les enfants et petits-enfants du roi régnant, en ligne masculine.
Se dit aussi des enfants et petits-enfants du roi défunt, nés avant sa mort.
Prince royal : Titre de l’héritier présomptif de la couronne dans certains états.
Altesse royale : Titre qui se donne à certains princes et à certaines princesses.
Son altesse royale le duc, la duchesse de… Par abréviation, on écrit: S.A.R.
Les lettres royaux, ordonnances royaux : En termes d’ancienne chancellerie, lettres, ordonnances émanées de l’autorité royale (royaux est ici une forme archaïque du féminin pluriel).
Almanach royal : Livre où étaient contenus les noms de la famille royale de France et des maisons souveraines de l’Europe, et ceux des personnages attachés à la cour et de tous les fonctionnaires civils et militaires.
Chemin royal, route royale : Grand chemin, grande route qui menait à une ville importante, et dont l’entretien était à la charge de l’administration centrale. On dit aujourd’hui Route nationale.
Chant royal : Ancien genre de poésie française qui se rapproche de la ballade.
Tigre royal, aigle royal : Tigre, aigle de la plus grande espèce.
Coucher à la royal : Seul dans un lit.
J’aime à coucher sur un lit dur, et seul, sans femme, à la royale, mais assez bien couvert.— (Montaigne, Essais, livre III, chapitre 13 §.79, traduction de Guy de Pernon)
(Cuisine) Gâteau au chocolat constitué d’une dacquoise (poudre d’amandes, sucre, œufs), d’un croustillant praliné (pralinoise, crêpes dentelles) étalé en fine couche et tassé, et d’une mousse au chocolat montée à la crème chantilly que l’on fait bien refroidir au frais, le tout étant saupoudré de cacao en poudre.
(Numismatique) Nom de plusieurs monnaies françaises d’or.
Les monnaies d’or furent au nombre de onze, savoir : Le royal, Le parisis d’or, Le royal d’or, ou florin royal, dont parle l’ordonnance du 21 mars 1328 (1), était une monnaie déjà connue, quant au nom, sous le règne de Philippe IV Le royal d’or, appelé aussi long-vestu en raison du long vêtement qui drape l’effigie du roi, était une monnaie déjà fabriquée sous Philippe de Valois. Le royal d’or parut en exécution de l’ordonnance du 14 novembre 1429. Il se fabriquait au titre de 23 karats (958/1000), à la taille de 72 au marc. Son cours légal était de vingt-cinq sols tournois. Chaque pièce pesait 64 grains (3 gram. 40 cent.) Le type adopté par Charles VII pour le royal d’or est entièrement différent de celui des monnaies de même nom usitées sous les rois Philippe VI, Jean et Charles V.— (Victor Hippolyte Berry, Études et recherches historiques sur les monnaies de France, tome second, Dumoulin, Libraire, Paris, 1853)
Damit wird jede weitere Kritik an der Handhabe der Krise für Thailänder heikel: Diese könnte nach dem royalen Statement als Beleidigung des Königs ausgelegt werden, worauf bis zu 15 Jahre Gefängnisstrafe stehen.— (« Asiens Machthaber fürchten Corona », Der Spiegel, 12 février 2020.)