Singulier | Pluriel | |
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Masculin | saint-simonien \sɛ̃.si.mɔ.njɛ̃\ |
saint-simoniens \sɛ̃.si.mɔ.njɛ̃\ |
Féminin | saint-simonienne \sɛ̃.si.mɔ.njɛn\ |
saint-simoniennes \sɛ̃.si.mɔ.njɛn\ |
saint-simoniennes \sɛ̃.si.mɔ.njɛn\
Le père mort depuis longtemps avait été, paraît-il, un disciple des théories Saint-Simoniennes. Il n’y apparaissait guère dans la famille. Le seul caractère avancé était l’absence de religion ; à part cela la mère et les filles étaient absolument bourgeoises et conservatrices, tout à fait détachées du sort du peuple qui, pour elles, ne comptait pas.— (Madeleine Pelletier, « L’Enfant (Histoire vraie) », Œuvres diverses, XXe s., p. 17)
Singulier | Pluriel |
---|---|
saint-simonienne | saint-simoniennes |
\sɛ̃.si.mɔ.njɛn\ |
saint-simoniennes \sɛ̃.si.mɔ.njɛn\ féminin
Longtemps, dans les livres d’histoire, les saint-simoniennes comme les quarante-huitardes ont représenté la partie féminine du socialisme à laquelle on avait retiré l’aspect subversif de la « femme libre ».— (Michèle Riot-Sarcey, Le Réel de l'utopie: Essai sur le politique au XIXe siècle, éditions Albin Michel, 1998, page 260)