Singulier | Pluriel |
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secondeur | secondeurs |
\sə.ɡɔ̃.dœʁ\ |
secondeur \sə.ɡɔ̃.dœʁ\ masculin
le mot « secondeur », tout comme le mot « proposeur », n’apparait dans aucun dictionnaire mais il est courant dans le vocabulaire des assemblées délibérantes— (Gérard Dion, Dictionnaire canadien des relations du travail, 1986)
Souvent, le secondeur intérieur (à l’image du quart) forme un caucus et transmet ses directives.— (L’Encyclopédie visuelle des sports, Québec Amérique, 2000, page 259)
Le demi défensif Alex Auger, du cégep de Trois-Rivières, le joueur de ligne défensive Arnaud Burkel et le demi-défensif Billy Jonas Pernier, du cégep de Thetford, ainsi que le secondeur Pierre-Olivier Théberge, du cégep de La Pocatière, sont les quatre ajouts de Laval en défensive.— (Jessica Lapinski, Ajouts en défensive pour le Rouge et Or, Le Journal de Québec, 1er mars 2022)
Le lendemain matin, c’était au tour d'un autre biffin, dit secondeur du fait qu’il travaillait en seconde tournée. Ce dernier était en général un chômeur ou un ouvrier mal payé qui cherchait dans le chiffonnage un complément de salaire— (Jean Héritier, mensuel L’Histoire, décembre 1982)
Jusqu’aux années 1850, on distingue trois catégories de chiffonniers : le chiffonnier de nuit ou piqueur, le secondeur pour lequel c’est souvent une activité annexe, et le gadouilleur. Le premier travaille de nuit comme son nom l’indique Il collecte le meilleur tandis le secondeur vient fouiller à la fin de la nuit, les tas déjà fouillés par le piqueur— (Sabine Barles, L’invention des déchets urbains : France 1790-1970, 2005)