Singulier et pluriel | |
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Masculin et féminin |
serre-fesses \sɛʁ.fɛs\ |
serre-fesses \sɛʁ.fɛs\ masculin et féminin identiques invariable
Vu le secrétaire de Gallimard, un jeune juif nommé Aron, qui a assez les allures un peu serre-fesses de la maison, au sujet de mon traité, que j’attends toujours.— (Paul Léautaud, Journal littéraire, volume I, 18 mai 1926 ; Mercure de France, Paris, 1986, page 1774)
Singulier et pluriel | |
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serre-fesses \sɛʁ.fɛs\ |
serre-fesses \sɛʁ.fɛs\ masculin et féminin identiques invariable
Votre audace est l’attestation de la vitalité française. Vous êtes, M. André Citroën, une vivante réponse à tous les peureux, à toutes les fausses-couches, à tous les serre-fesses, qui, prétextant le fléchissement de notre change, voudraient conclure à notre amoindrissement nattional.— (Eugène Merle, Ah ! Si vous saviez, M. André Citroën, éditorial de Paris-Soir no 970 du 2 juin 1926, Paris, 1926, page 1)
— Tu me cavales, grommela Salade. J'irai pas. Et c'est pas parce que je me dégonfle, mais j'ai la flemme …— (Henri Troyat, Le Ratuset, dans Candide — grand hebdomadaire parisien et littéraire — no 680 du 25 mars 1937, page 9)
— Serre-fesses ! siffla Chalicot indigné.
— Cause toujours, eh ! pou !
— Serre-fesses ! serre-fesses ! serre-fesses ! répétait Chalicot avec une délectation écœurée.