Singulier | Pluriel | |
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Masculin | signifiant \si.ɲi.fjɑ̃\ ou \si.ni.fjɑ̃\
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signifiants \si.ɲi.fjɑ̃\ ou \si.ni.fjɑ̃\ |
Féminin | signifiante \si.ɲi.fjɑ̃t\ ou \si.ni.fjɑ̃t\ |
signifiantes \si.ɲi.fjɑ̃t\ ou \si.ni.fjɑ̃t\ |
signifiant \si.ɲi.fjɑ̃\ ou \si.ni.fjɑ̃\
Les sacrements sont les signes signifiants et effectifs de la grâce.
Allégorie du genre féminin, aux longueurs codées selon les décennies, la jupe — dénoncée comme entravante et signifiante — n’est-elle pas en passe de devenir un symbole de réappropriation et de résistance face à des impératifs faits aux femmes ?— (Véronique Fau-Vincenti, « Ce que soulève la jupe de Christine Brard », dans Le Monde diplomatique, mai 2010, p. 25)
Un des droits fondamentaux du petit enfant est qu'on porte une attention constante à ce qu'il dit. Il a besoin qu'on lui donne régulièrement des mots nouveaux. Il veut voir, dans les yeux de l'adulte, que l'on accueille avec vigilance ses tentatives parfois maladroites mais toujours signifiantes.— (Alain Betolila – Que fait-on aujourd'hui des petits enfants ? - Journal La Croix, page 21, 17 juillet 2015)
Singulier | Pluriel |
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signifiant | signifiants |
\si.ɲi.fjɑ̃\ ou \si.ni.fjɑ̃\ |
signifiant \si.ɲi.fjɑ̃\ ou \si.ni.fjɑ̃\ masculin
Les unités significatives sont généralement désignées sous le nom de signes, leur sens étant dit signifié et leur forme parlée signifiant; .— (André Martinet, La Description phonologique avec application au parler franco-provençal d'HAUTEVILLE (Savoie), Genève : Librairie Droz & Paris : M. J. Minard, 1956, p. 12)
Or il se trouve que dans ce pays (le Japon), l’emprise des signifiants est si vaste, il excède à tel point la parole, que l’échange des signes reste d’une richesse, d’une mobilité, d’une subtilité fascinantes en dépit de l’opacité de la langue, parfois même grâce à cette opacité.— (Roland Barthes, L’empire des signes, Éditions du Seuil, 2005, page 22)
Voir la conjugaison du verbe signifier | ||
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Participe | Présent | signifiant |
signifiant \si.ɲi.fjɑ̃\ ou \si.ni.fjɑ̃\
Mais Jules prenait un air ennuyé comme malgré lui, et Laurette, qui ne perdait rien de la situation, arborait un sourire signifiant : Tu peux toujours courir mon lapin désenligné !— (Noël Audet, Quand la voile faseille, 1988, page 85)