Singulier | Pluriel |
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simarouba | simaroubas |
\si.ma.ʁu.ba\ |
simarouba \si.ma.ʁu.ba\ masculin
Voyez ! c'est : le tacouara dont le vert si tendre et si doux guerit les yeux malades ; le simarouba aux fleurs bleu de ciel ; l'ébénier noir qui donne le jaune d'or ; le maonticouali couvert d'épaisses touffes lie de vin ; le moutienguétiengué revêtu d'un beau rouge écarlate ; .— (Henri Coudreau, Chez nos Indiens : quatre années dans la Guyane française (1887-1891), éd. Hachette, 1893.)
On a employé la vertu tonique du simarouba à la guérison des fièvres intermittentes.— (Jean-Baptiste Grégoire Barbier , Traite élémentaire de matière médicale, tome 1, éd. Mequignon-Marvis, 1819.)
Le simarouba, remède familier dans les lieux où on le récolte, n'a été connu en Europe qu'en 1713 ; il doit son crédit aux succès qu'on lui a attribués dans le traitement des épidémies de dyssenteriessic qui ont régné à Paris en 1718 et 1723.— (Jean-Baptiste Grégoire Barbier, Traite élémentaire de matière médicale, éd. établissement encyclographique, 1837.)