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La plus courante[1] est qu’il vienne du mot siri en sirionó qui est le nom d’un arbre et d’une partie ono dont le sens est inconnu.
Le nom pourrait provenir d’un mot siri en mojeño (signifiant « pied tordu ») et du suffixe -ono qui marque le pluriel dans cette même langue. L’accentuation finale serait justifié par ce fait, car en sirionó l’accentuation est toujours sur l’avant-dernière syllabe [2].
La constitution de janvier 2009 (dont l'ancien président Quiroga aurait dit : « C'est un morceau de papier qui vaut autant que du papier hygiénique usagé » ) reconnaît 36 langues régionales en plus du castillan comme langues officielles d’État (Art. 5) : l'aymara, l'araona, le baure, le bésiro, le canichana, le cavineño, le cayubaba, le chácobo, le chimán, l'ese ejja, le guaraní, le guarasúwe,le guarayu, l'itomana, le leco, le machajuyaikallawaya, le machineri, le maropa, le mojeñotrinitario, le mojeñoignaciano, le moré, le mosetén, le movima, le pacawara, le puquina, le quechua, le sirionó, le tacana, le tapiete, le toromona, l'uruchipaya, le weenhayek, le yaminawa, le yuki, le yuracaré et le zamuco.— (Petit FutéBolivie 2015)
Notes
Le code de cette langue (siriono) dans le Wiktionnaire est srq.
Variantes orthographiques
Le nom de la langue n’étant pas un mot de la langue elle-même, il est prononcé par les Sirionó eux-mêmes avec une accentuation sur l’avant-dernière syllabe, de la même manière que les autres mots de la langue[3]. Pour cette raison, plusieurs linguistes[4] proposent de l’écrire siriono.
Dietrich, W. (2002). A importância da gramática do Siriôno do padre Anselmo Schermair para a lingüistica comparativa Tupí-Guaraní Línguas Indígenas Brasileiras. Fonologia, Gramática e História. Atas do I Encontro Internacional do GTLI da ANPOLL, Editoria Universitária U.F.P.A., Cabral, A. S. & Rodrigues, A. (Eds.), 358-373