Singulier | Pluriel |
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sociohistorien | sociohistoriens |
\sɔ.sjo.is.tɔ.ʁjɛ̃\ |
sociohistorien \sɔ.sjo.is.tɔ.ʁjɛ̃\ masculin (pour une femme, on dit : sociohistorienne)
Dans un entretien au Monde, le sociohistorien Stéphane Sirot, spécialiste des relations sociales et du syndicalisme, estime que si la question des retraites « complique la possibilité d’engager un processus de négociation », « le déficit de recherche de compromis » de la part du gouvernement actuel « n’aide pas à apaiser le climat social ».— (Marie Pouzadoux, Réforme des retraites : « La négociation n’est pas le mode privilégié du dialogue social en France en raison de notre histoire politique », www.lemonde.fr, 12 décembre 2022)
Singulier | Pluriel | |
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Masculin | sociohistorien \sɔ.sjo.is.tɔ.ʁjɛ̃\ |
sociohistoriens \sɔ.sjo.is.tɔ.ʁjɛ̃\ |
Féminin | sociohistorienne \sɔ.sjo.is.tɔ.ʁjɛn\ |
sociohistoriennes \sɔ.sjo.is.tɔ.ʁjɛn\ |
sociohistorien \sɔ.sjo.is.tɔ.ʁjɛ̃\
Sans revenir sur l’abondante littérature historienne qui s’est saisie de cette question, depuis l’article pionnier d’Alphonse Aulard, « Le centenaire de la Légion d’honneur », Études et leçons sur la Révolution française, 4ᵉ série, Paris, Félix Alcan, 1904, pp. 261-302 ou, récemment, les travaux de Sylvain Rappaport, issus de sa thèse sur les prix de vertu du baron Monthyon, notamment « Les silences de la vertu », dans Revue d’histoire du XIXᵉ siècle, no 10, 1994, on signalera les publications sociohistoriennes de Bruno Dumons et Gilles Pollet, « Une distinction républicaine : les médailles du travail au tournant des XIXᵉ et XXᵉ siècles.— (Olivier Ihl, Gouverner par les honneurs., Genèses 2004/2 (no55), pages 4 à 26)
Il adopte le point de vue du socio-historien et se propose de traiter la psychanalyse comme une institution parmi d'autres dans l'ensemble des institutions constituant l’ordre socio-politique— (Ghyslain Charron, Inconscient social de la psychanalyse et points aveugles du psychanalyste, Philosophiques, 4(2), 293–304, page 294.)