Singulier | Pluriel |
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spirante | spirantes |
\spi.ʁɑ̃t\ |
spirante \spi.ʁɑ̃t\ féminin
On emploie d’ordinaire les mêmes symboles pour les spirantes et les fricatives apicales, mais on aurait intérêt à spécialiser et pour les spirantes, et a employer pour les fricatives les lettres anglo-saxonnes et islandaises pour la sourde, pour la sonore : donc pour l’initiale d’angl. thin et d’esp. cast. cinco, pour l’initiale d’angl. this s’opposant au à l’intervocalique dans esp. cada.— (La description phonologique, avec application au parler franco-provençal d’Hauteville (Savoie), 1956, page 25)
Les muettes et les spirantes se divisent en fortes et en faibles.— (Paul-Dominique Bernier, Notions d’étymologie classique grecque, latine et française, Librairie Poussielgue Frères, 1885, page 102)
Les muettes fortes sont : p, t, c, k, q.
Les muettes faibles sont : b, d, g (dur).
Les spirantes fortes sont : h (aspirée), ch, s (dur), f, x.
Les spirantes faibles sont : v, j, g (doux), z, s (doux), et x (doux) à la fin des mots.
Brugmann l’établit page 397. 1o D’abort les aspirées se converstissent en spirantes ; 2o p, k devant t et s deviennent f, χ, 3o par analogie toutes les plosives ténues deviennent spirantes en toutes situations ; 4o p, t, k se changent généralement en f, θ, χ, 5o les spirantes ténues deviennent spirantes sonores dans les cas indiqués par la loi de Werner, .— (Raoul de La Grasserie, Essai de phonétique générale, 1890, page 231)
Singulier | Pluriel | |
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Masculin | spirant \spi.ʁɑ̃\
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spirants \spi.ʁɑ̃\ |
Féminin | spirante \spi.ʁɑ̃t\ |
spirantes \spi.ʁɑ̃t\ |
spirante \spi.ʁɑ̃t\
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