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(1755)[1] De l’anglais stock, apparenté à estoc (« tronc, souche ») (Les deux ayant une racine allemande ou suédoise)
(1755) Le livre de John Cary est annoté: "Stock es un mot Anglois, qui signifie fonds, capital. Les Ecrivains François qui ont traité des Compagnies de Commerce Anglaises ont employé ce mot au lieu de le traduire lorsqu’ils ont voulu parler du fond ou capital de ces Compagnies" en page 403 de l' Essai sur l'etat du commerce d'Angleterre. Tome 2 / . Tome premier
Ces stocks qui étaient de moins d'un million de tonnes en 1929, se sont élevés jusqu'à 5 millions de t. en septembre 1935 et 4 millions fin juin 1936 ont progressivement décru jusqu’à 1,5 million de t. fin septembre 1937, diminuant d’environ 175 000 t. par mois.— (Ch. Berthelot, Épuration, séchage, agglomération et broyage du charbon, Paris : chez Dunod, 1938, page 365)
Favier, à demi voix, fit alors remarquer que le stock serait joli : la direction allait être contente.— (Émile Zola, Au Bonheur des Dames, 1883)
Mais avec votre papelard à dix sacs la rame, vous pourrez toujours vous établir marchand de papier, ou vous en servir à ce que je pense, comme ça vous liquiderez votre stock !— (Michel Audiard, Le cave se rebiffe, 1962)
(Pêche) Ensemble d’individus qui, du fait de caractéristiques biologiques homogènes, peut constituer une unité de gestion (stock) ou une unité d'évaluationbiologique.
Ici, le rôle du chef de service consiste à fluidifier le stock – la blessure et la maladie abolies par les éléments de langage. Nul besoin d’être extralucide pour voir que ça ne marche pas. À aucun niveau de réalité, cela ne fonctionne. Au contraire, chaque fois qu’on a traité des groupes d’êtres humains comme des marchandises, ça s’est très mal fini. Les vieux médecins ne mangent pas de ce pain-là. La neurologue venue examiner ma mère à deux reprises ne paraissait pas trouver moderne, utile, profitable, de ne pas soigner les patients au bénéfice de la gestion des flux.— (Julia Deck, Ann d’Angleterre, chapitre 17, Le Seuil, Paris, 2024, page 177)
(Nom commun 1, adjectif, verbe) Du vieil anglais stoc[1] apparenté à Stock (« bâton, canne, baguette ») en allemand, stok (« bâton ») en néerlandais.
(XVe siècle) Sens de « réserve pour un usage futur », peut-être conflation avec steck (« pièce »), apparenté à Stück (« pièce ») en allemand, stuk (« pièce, morceau ») en néerlandais.
(Nom commun 2) De l’italien stoccata, dérivé de stocco, avec le suffixe -ata.
↑Marc Brysbaert, Emmanuel Keuleers, Paweł Mandera et Michael Stevens, Woordenkennis van Nederlanders en Vlamingen anno 2013: Resultaten van het Groot Nationaal Onderzoek Taal, Université de Gand, 15 décembre 2013, 1266 p. →