suite de Fibonacci

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Étymologie

D’un mathématicien italien du XIIIe siècle connu sous le nom de Leonardo Fibonacci qui, dans un problème récréatif posé dans un de ses ouvrages, le Liber Abaci, décrit la croissance d'une population de lapins : « Un homme met un couple de lapins dans un lieu isolé de tous les côtés par un mur. Combien de couples obtient-on en un an si chaque couple engendre tous les mois un nouveau couple à compter du troisième mois de son existence ? »
À noter que Fibonacci n'a pas lui-même fait d'étude poussée de cette suite : il cite le problème à titre de simple exercice de calcul. Ce n'est qu'au XIXe siècle que l'expression suite de Fibonacci est utilisée pour la première fois, sous la plume d'une autre mathématicien, Édouard Lucas, qui en tire le fameux nombre d'or[1].

Locution nominale

suite de Fibonacci \sɥit də fi.bɔ.nat.ʃi\ féminin

  1. (Mathématiques) Suite déterminée par la forme récurrente : F(n) = F(n − 1) + F(n − 2) et par les valeurs initiales F(0) = 0 et F(1) = 1. Les vingt premiers nombres de la suite de Fibonacci, de F(0) à F(19), sont : 0, 1, 1, 2, 3, 5, 8, 13, 21, 34, 55, 89, 144, 233, 377, 610, 987, 1597, 2584 et 4181.

Vocabulaire apparenté par le sens

Hyperonymes

Traductions

Voir aussi

  1. Benoît Rittaud, Quand les maths se font discrètes, Éditions Le Pommier, Paris, 2008, pp. 87-90.